Castlevania : Lords of Shadow
octobre 19th, 2010Castlevania tente une nouvelle excursion dans le monde terrifiant des polygones, de l’aliasing, et du bump mapping.
Castlevania tente une nouvelle excursion dans le monde terrifiant des polygones, de l’aliasing, et du bump mapping.
Le nouveau jeu du tisseur de toile est-il à la hauteur ?
Assassin’s Creed 2, rendu populaire pour son DRM tordu (dont j’ai fait les frais plusieurs fois) a malgré tout quelques qualités.
Ce qui était cool avec ce jeu, c’est qu’on n’était pas obligé d’atterrir sur un porte-avions à la fin du niveau 1 et de se crasher en permanence. Pas comme dans l’autre sur NES, là.
Le dieu de la guerre déchu est de retour pour clore une trilogie faite de vengeance et d’une débauche de violence à grand spectacle. Ça va saigner, et pas qu’un peu.
Le tueur aux Origamis ramasse les petits garçons et les force à jouer à des jeux chiants jusqu’à ce que mort d’ennui s’en suive.
La démo de God of War 3 est enfin publique en attendant le jeu, on a patienté un peu le temps du download pour l’essayer.
Il y a des bon jeux, il y a des mauvais jeux.
Et puis il y a ces titres, qui n’ont pas de gros défauts mais n’ont rien d’excellent non plus. Ces jeux qui le ont goût et la consistance d’une tranche de pain de mie avec rien dessus.
Quand Pipo a la chance de pouvoir mettre les mains sur le futur successeur du messie, il t’en fait profiter parce qu’il t’aime bien. Il est comme ça, Pipo.
Je ne suis pas qu’un joli cul, je suis aussi l’un des meilleurs beat’em all qui n’ait jamais vu la surface de la Terre. Avec un pur cul, ouais.