Qui aurait cru qu’une production Final Fantasy serait impliquée dans un double meurtre et relancerait la polémique sur les jeux violents ? Dans l’Allemagne de 2007, beaucoup y ont cru.

Où l’on se demande, après avoir analysé la querelle du GamerGate et ses origines, quelles en seront les conséquences.

Où l’on s’aperçoit que la télévision ne sait toujours pas parler de jeux vidéo, et qu’un regard extérieur ne fait que rendre les choses plus illisibles.

Où l’on s’aperçoit que le culte du ressentiment ne nous mène qu’à l’autodestruction.

Où l’on s’aperçoit que le clivage entre joueurs, presse et industrie était déjà présent avant le GamerGate, mais que ça ne change rien à ses fondations.

Après plusieurs mois de pause, je reprends mon dossier « autour du GamerGate », afin de mieux me pencher, justement, « sur » le GamerGate

Le Playstation Now, service de streaming de jeux de Sony, est disponible aux USA. Affaire du siècle ou gigantesque arnaque ? Ni l’un ni l’autre, mon capitaine.

Contre toute attente, le jeu le plus décrié de la fin d’année 2014 est celui sur lequel je prends actuellement le plus de plaisir. Allez comprendre.

Le retrogaming sur PC, une hérésie ? Peut-être, mais avec la bonne manette il est quand même possible de retrouver des sensations passées.

Signe supplémentaire que le débat sur la violence est moribond : un site allemand spécialisé dans le traitement médiatique de cette question disparait.