On jouait déjà avant ta naissance, donc on a raison

Genre: Sandbox Aventure • Editeur: Rockstar Games • Date de sortie: 29 avril 2008

Grand Theft Auto IV

Par • le 10/6/2008 • À la une, Tests & previews, Xbox 360 • Exemplaire du jeu payé avec nos sous •

Issu d’une longue lignée de jeux à polémiques, d’histoires de putes et de gangsters plus ou moins mafieux, GTA IV a assomé la planète médiatique à coup de promo basée sur la provoc, assoiffé les fanboys, et fait peur à ta grand-mère, mais heureusement, les vieux joueurs de GS198X sont là pour tâter et malaxer ce qui fait le plaisir de nos jeunes adolescents pubères sur leur écran HD payé sur 20 ans par leur papa déjà endetté par 4 cofidis.

Busted

Pour bien commencer, on se remet dans le contexte, GTA, ou Grand Theft Auto, c’est avant tout l’art d’être un bon hors-la-loi videoludique, le but de ce type de jeu est principalement d’avancer dans le monde du banditisme, de la simple délinquance jusqu’au crime organisé, pas de fraude fiscale ni d’emploi fictif cependant, et c’est bien dommage, tant sont-ce là les vrais raclures du monde moderne, mais je m’égare, GTA c’est une structure de jeu qui fut révolutionnaire, et à la base de nombreuses et parfois immondes copies calques, le système est assez simple : donner une sensation de liberté au joueur, qui peut se ballader dans une ville autonome, et qui quand il le choisit, peut déclencher des phases de missions, que ce soit pour avancer dans l’histoire (souvent anecdotique), ou pour des quêtes secondaires optionnelles, on appelle ça un sandbox, ce qui corespond bien à l’âge habituel du public concerné.
Chaque GTA rajoute des petits détails pour faire plaisir, des coiffures, des tatouages, des habits, bref des élements censés améliorer l’immersion en racaille, et sont généralement situés dans une des 3 villes-parodies, Vice City aka Miami, San Andreas aka Los Angeles/San Franciso ou Liberty City aka New York City, où justement notre jeu se déroule.

New York, ça tombe bien, par la grâce de Saint Pognon Epargné, où j’ai pu me rendre il y a quelques semaines, pile la semaine de la sortie de GTA IV, et c’était la folie, des façades entières repeintes avec les visuels des personnages, le fameux « IV » en stickers sur 80% des panneaux de la ville, et des affiches à n’en plus compter, je crois que Rockstar a voulu faire vendre leur propre ville aux New Yorkais, mais this is america, et le jeu a cartonné dès la sortie, et à vrai dire, n’étant pas vraiment fan du genre, et ma 360 ayant RRODé, je n’envisageais pas vraiment de me lancer dans Liberty City … et pourtant, je fus corrompu, un pote avait la console, le jeu, et peu d’envie, et moi, de retour de voyage, je ne voulais rien d’autre que retourner là-bas, même dans un ersatz de la Big Rotten Apple.
Ma précédente experience de sandbox, si on écarte Assassin’s Creed, était Crackdown, qui m’avait reconcilié avec ce type de jeu que je trouvais généralement ennuyeux, et d’une difficulté mal dosée, mais là, sauter à des hauteurs vertigineuses, le monde futuriste, et la moindre importance des véhicules m’avaient convaincu d’y passer des heures, à chercher des orbes et à finir le jeu, chose peu habituelle pour un GTA ou GTA-like pour moi, donc c’est un peu à reculons que j’ai pénétré dans GTA IV, sachant que je trouverai une claque visuelle, mais en n’ayant aucune idée de sa qualité ludique.

Middle Park aka Central Park

Alors oui, visuellement, c’est beau, c’est pas non plus ce qu’on fait de plus beau, selon moi Assassin’s Creed est vraiment plus net et plus réaliste au niveau des personnages, mais les détails de GTA IV sont exceptionnels, New York a été reproduit avec fidelité, j’ai surtout apprecié Broker censé reproduire Brooklyn, l’environnement est varié, détaillé, la population change de quartier en quartier, les zones commerciales, industrielles, résidentielles, et l’urbanisme est excellent, on prend un réel plaisir à s’y promener autant en véhicule qu’à pied, à tel point qu’une fois dans la zone d’Algonquin (Manhattan), on a une légère déception, comme si les immeubles devaient être suffisants à nous impressionner, ok, le MetLife, le Rockfeller Center, l’Empire State, ils y sont tous, mais au niveau du sol, on oublie les détails réalistes, Times Square est désesperement vide, on trouve rarement un vendeur de hot dog, et impossible de trouver de quoi manger à part un fast food dans downtown !?
Evitez aussi de vous promener au lever/coucher du soleil, auquel cas tout le paysage devient comme doré et brillant, presqu’aveuglant, aaaah la next-gen ..
Le moteur graphique fonctionne à fond en permanence, pas une minute sans un accès disque, et ce pour n’avoir aucun temps de chargement durant vos déplacements, c’est effectivement jouissif de faire de longs trajets sans avoir à se taper 5 minutes de loading à chaque passage de pont, petit bémol : si vous prenez un taxi et accélerez la course, vous aurez un temps de chargement, mais voyons, il faut bien payer pour sa flemmasse ! N’empèche que le moteur atteint quelque fois ses limites, avec des éléments de décor qui mettent un peu de temps à s’afficher, et c’est parti pour un accident dans un obstacle invisible, voire même un ennemi fantôme qui vous tire dessus, et quand vous rentrez en courant dans un shop, vous devrez attendre un petit instant l’affichage des détails des stands, ça reste tout de même un moindre mal, et je n’ai eu durant le jeu qu’une ou deux baisses de framerate, tout tourne correctement la plupart du temps.

Cousin Roman

Une des grosses critiques que j’ai pu lire par-ci par-là est au niveau du scénario, pas assez fun, trop sérieux, trop profond .. et bien c’est peut-être parce que je fais partie des vioques, mais j’avoue qu’il m’a pourtant bien emballé, le deux premiers tiers du jeu, je zappais même tout ce qui était optionnel pour me concentrer sur le mode story puis …. c’est devenu chiant, répetitif et ininteressant, toute la dernière partie a lieu dans ce qui pourrait être le haut du panier des raclures, c’est à dire encore et encore la Mafia (ils aiment ça chez Rockstar), et ces personnages secondaires sont trop éloignés de l’histoire centrale pour être réellement interessants, de plus, en grimpant l’échelle du crime, on se prend à tous les confondre ces italiens, finalement, ils sont aussi originaux l’un que l’autre, avec une personnalité identique … C’est dommage car au début … Niko Bellic (vous) arrive à Liberty City pour retrouver son cousin Roman qui prétend avoir fait fortune (cousin Roman est un gros mytho), mais aussi pour se venger d’anciens frères d’armes criminels de guerre serbes, la faune underground de Broker est riche, variée, et les PNJ sont tous croustillants, certains prévisibles d’autres nettement plus complexes et interessants à fréquenter. Niko va alors aller de petite frappe en caïds locaux, russes, latinos, haïtien, c’est varié ! Et c’est tant mieux, chacun ajoutant de la couleur locale et de la mythologie à Liberty City. De même lorsqu’on arrive sur Bohan et l’équivalent d’Harlem, il faudra alors faire certains choix cornéliens, même si peu influents sur le déroulement de l’histoire, qu’on oublie malheureusement trop vite une fois au sein de la mafia, on fait ce qu’on nous dit, point. A vrai dire, au moment où vous vous ennuyez, mon conseil serait de passer aux missions optionnelles, pas très sexy, mais au moins divertissantes.

Le contenu du jeu lui-même est vraiment typique des GTA, la plupart du temps vous devez voler une voiture/moto/helicoptère/bateau pour vous rendre d’un point A à un point B, où éventuellement vous devez tirer sur 1 à 20 personnes, ou faire une poursuite quelconque, et ce dans le mode story ou les side-missions .. La difficulté d’un combat est seulement liée à deux facteurs : si vous arrivez à vous mettre à couvert correctement, ce qui vous rend invincible, et si vous devez protéger/suivre un PNJ qui agit de manière totalement berserk, et c’est tout … Les poursuites elles, dépendent de la circulation et de la météo, ainsi que du véhicule, mais souvent dans ce cas, elle est adaptée (vous n’aurez jamais à rattraper une moto de course avec un camion par exemple). Bref, ne comptez pas sur GTA IV pour renouveller le genre, non, c’est rien que du très commun voire banal. La vacuité du titre est encore pire quand on distingue les activités que l’on peut faire avec ses amis ou sa copine, quelques mini-jeux comme le bowling, le billard et les fléchettes, trois types de restaurant différents, un bar quelconque où le résultat sera d’être complétement torchon (joli simulation d’alcoolo d’ailleurs), et le comic club où on aura droit à des sketches de stars du rire comme Ricky Gervais, même pas exclusifs il faut pas rêver, mais on apprécie l’effort, mais cette faiblesse est déjà raillée par les concurrents, voir le trailer de Saints Row 2.

Run for it

Mais au final pourquoi j’ai joué à ce jeu de voiture déguisé en jeu de gangster ? J’avoue que je ne sais pas, j’avais souvent la flemme de passer les phases de déplacement avec un taxi, et je crois que la durée de vie en aurait été réduite de moitié dans ce cas, mais me déplacer dans une ville aussi bien pensée au niveau urbanisme et que mal desservie en transport en commun devint rapidement une plaie de GTA, le pire étant lorsque la mission exige de traverser deux îles avec un camion qui va à deux à l’heure et que vous devez vous la retaper 4 fois parce qu’on s’est pas mis correctement à couvert, on perd l’intêret mais étrangement pas l’envie, et puis au pire au lieu de recommencer on fait une petite course, ou un assassinat, ou quelque chose pour se reposer les nerfs.
Le système d’amitié est aussi bien pensé car récompensé par quelques petits bonus de gameplay, du même que celui des rendez-vous coquins, mais on ne peut que rester sur sa faim, tous les à-cotés futiles (mais fun) ont été réduits au minimum, on peut même plus avoir l’air d’un Pimp tatoué et habillé comme Snoop, et finalement, pourquoi se faire chier dans un bon restau quand un soda à 1$ remet votre vie au max ? De même pourquoi recommencer une mission après une arrestation qui vous confisque de la thune et votre arsenal, alors qu’on peut charger la dernière sauvegarde ?
GTA IV est facile dans son fonctionnement, et facile dans son gameplay, là où le scenario et le monde sont plus complexes et détaillés que d’habitude, on revient à un jeu à la fois répetitif et sans originalité, oh, c’est encore loin de l’impression facheuse d’Assassin’s Creed, mais quelques petits bonus bien cools à la Crackdown (hey je parle pas de pouvoirs surhumains forcément, mais de quelque chose d’un peu « différent » que M16-Gilet Pare Balles) auraient été les bienvenus.

Heureusement GTA ne serait pas GTA sans ses petits détails rigolos, et pour une fois chapeau aux traducteurs français qui ont su nous caser quelques petites coquilles « Classe américaine » que je vous laisse découvrir évidemment, c’est mieux, tout ça bien entendu si vous arrivez à trouver une 360 avant le 15 juin 2008, n’est-ce pas kwyxz.

Ne soyons pas chien non plus, j’ai passé quelques dizaines d’heures de congé maladie sur ce jeu, et il s’est vendu comme des petits pains, il a été encensé par la critique comme si on leur avait mis un couteau sur la gorge, ce jeu ne vaut vraiment pas 10/10, 20/20 ou même A+, non, loin de là, c’est un bon jeu, c’est vrai, mais il est loin non seulement d’être parfait, mais en plus d’être très divertissant, mais ça reste une milestone qu’il serait dommage de rater en 2008, surtout vu la braderie de la 360 actuelle, et le fait qu’en y jouant 30-45min le soir de temps en temps, vous êtes tranquille en attendant la sortie éventuelle d’un truc interessant sur console !

Ok je me sens comme un journaliste de Gamekult, j'ai dit du mal tout le long de l'article mais au final je mets une des toutes meilleures notes, mais que voulez-vous, GTA IV est comme ça, il est moins détestable qu'Assassin's Creed même si il est en-dessous visuellement, on a moins l'impression qu'on se fout de notre gueule, et la pute-de-la-pub-qu'on-peut-pas-baiser est juste une image, pas une directrice de projet.

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est joueur depuis 1987. Joueur Hardcore Casual, même s'il passe des jours entiers de sa vie à jouer, il n'a jamais dépassé le niveau de votre petit cousin. Après avoir participé à l'émergence des LAN et du multijoueur avant les années 2000 et Counter-Strike, il ne jure plus que par les jeux solos, surtout les FPS.
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14 commentaires »

  1. Enfoiré, j’en ai encore plus envie maintenant :|

  2. Il est chouette ton test, doc, mais perso je ne jouerai pas les gangsters avant Mafia 2.

  3. Je l’ai acheté sur PS3, et meme si je peux lui trouver beaucoup de défaut, je pense que j’aurai mis un note identique.
    Je rajouterai juste quelques points :

    Concernant les graphismes, la première réaction qu’on a en lancant le jeu, c’est « mais qu’est ce que c’est laid, c’est tout aliasé argh » (surtout après avoir joué a des jeux comme uncharted ou dmc4).
    Enfin bon, les jeux Rockstar n’ont jamais été réputé pour la qualité visuelle, et ce n’est pas ca qu’on recherche en priorité sur leur jeux, meme si avec une console nextgen ca fait un peu mal au coeur…
    Et après quelques instants de jeu, après avoir fait une première exploration et débuté les premières missions on n’y prete plus du tout attention tellement le jeu est immersif.

    La ville est immense, l’urbanisme vraiment bien foutu, on est libre de se deplacer ou on veut sans le moindre chargement, c’est totalement immersif.
    Sauf que. Les déplacements deviennent vite reboutant. Les voitures ont toutes des suspensions ultra ‘americanisée’, et la maitrise/controle du véhicule est tout simplement a chier (et je ne parle pas quand il pleut). Le systeme de transport en commun est quasi-inexistant. Heuresement qu’il y a les taxi,
    avec les formidables options d’avance rapide (qui permet de profiter de la ville) ou de ‘passer’ le trajet. Mais quand on voit qu’au final on passe plus de 80% du temps en déplacement, ils auraient pu faire un effort sur ce point.

    Le systeme d’amitié est une bonne idée à la base, mais la liste des activitées disponibles étant assez limité et pas franchement interessante, on en a vite fait le tour, et j’ai vite laché l’affaire. Surtout que les bonus apporté sont plutot négligeable et qu’on s’en passe très facilement. Sans compter qu’on est toujours a l’autre bout de la ville quand on recoit un appel pour aller faire une sortie avec un pote, renforcant encore plus le coté ‘simulateur de conduite avec une voiture pas controlable’.

    Par rapport au scenario, peut etre pas assez fun pour certain, ou pas assez fun en comparaison des précédent opus, j’ai vraiment accroché, plus encore que sur les précédentes versions. Peut etre mon coté vieux con aigri qui ressort. Quelques rebondissement un peu limite mais il est dans l’ensemble bien ficelé.

    Sur les missions, dans l’ensemble pas de grandes originalités, généralement on a le schema on vol un véhicule -> on va au point indiqué -> on tue tout ce qui bouge/on fait une course poursuite (en essayant de maitriser le vehicule tout en visant le vehicule devant) -> on se barre avant les flics. Quelques missions vraiment sympa/originale amha, comme le braquage de banque, le kidnapping de la greluche ou la balade en helico avec jacob :)

    L’IA des pnj est déplorable. Que ce soit hors mission où ils font n’importe quoi/conduisent n’importe comment, ou que ce soit en mission où une fois que tu t’es ben mis a couvert tu devient quasiment immortel, le problème etant de pouvoir se mettre a couvert correctement. Le systeme de visée automatique/assisté aidant bien quand on est a couvert pour faire le point sur la localisation des enemies.

    Dernier point, sur lequel je pense que je vais me faire lyncher, pourquoi n’ont ils pas fait de localisation francaise ?!
    Pour beaucoup de missions, il y a une phase ou on conduit quelqu’un avec nous. Il s’en va qu’il y a toujours une phase de dialogue entre les personnages et pendant qu’on passe son temps a lire les sous titres (tout le monde n’est pas anglophone, où avec le niveau d’anglais requis qu’on n’obtient ni a l’ecole ni au boulot) on finit bien souvent pas se planter, et regulierement dans une voitures de flic, induisant une petite course poursuite, et pendant ce temps la on a rien suivi a l’histoire… Bref un peu frustrant, enfin il suffit de s’arreter pendant les dialogues, mais le (long) chemin conduisant a l’objectif devient vite monotone…

    Mais dans l’ensemble ca reste un super jeu, qui a au moint une durée de vie tres interessante, comparé a la majorité des autres jeux du marché (i.e. pas comme dmc4 qui se finit en 2 après midi)

  4. Bon test, pas encore fini je vais finir à 100h de jeu je sens…

    La durée de vie est quand même impressionnante si on veut faire toutes les quêtes annexes + les courses + les livraisons + les missions de police + les paquets cachés.

  5. 100h si tu te déplaces tout le temps sans prendre de taxi ! Il faut pas mal de temps pour trouver les pigeons et les sauts spectaculaires en voiture, et de la chance pour les rencontres aléatoires, mais sinon je dirais que le reste rentre facilement dans moins d’une 50aine d’heures en utilisant les taxis régulièrement

  6. « On va manger des chips, t’entends ?! Des chips ! », j’avoue que j’ai ouvert grand les yeux quand j’ai lu ça dans les sous-titres un moment.

  7. ah oué de meme j’ai bien rigolé en lisant ca \o/

  8. Je viens de commencer, je dois en être à une huitaine d’heures de jeu et que dire, je suis conquis, la ville est immense (je suis toujours restreint à Broker et Bohan pour l’instant), j’apprécie les interactions avec les différents NPC, j’aime bien la diversité des populations représentées, et surtout contrairement au test de Gamekult qui trouvait le jeu très sérieux et dépourvu de l’humour qui faisait le charme des précédents opus, je trouve le jeu bien drôle avec pas mal de répliques saignantes. Alors certes il est probablement moins caricatural et plus sombre que Vice City ou San Andreas, mais j’y rigole toujours bien lors de certaines répliques.

    Concernant la maniabilité des bagnoles dont parlait Jocelyn, je dirais que ça dépend un peu des modèles et de la facheuse habitude qu’on a au début de braquer le joystick à fond au lieu d’y aller par petites touches, par contre le frein moteur ne sert tout simplement à rien à moins de rouler à 40 Mph en ville, au-delà point de salut il faudra y aller au frein à main et anticiper chaque virage sous peine d’un tête-à-queue. J’ajouterai pour finir que la conduite en vue intérieure est plus aisée que celle en vue externe, mais c’est une question de feeling personnel je pense.

  9. Autre perle de la trad Fr: « Je mets les pieds où je veux, et c’est souvent dans la gueule. »

    J’ai ri.

  10. je veux les truc de san andreas

  11. GTA IV terminé ce matin, scénario « Revenge ». C’était grandiose, une expérience assez hallucinante, une reproduction de ville remarquable de détails, et surtout j’ai bien rigolé en entendant DJ Juliette Lewis faire une référence à 2 girls 1 cup sur Radio Broker.

  12. Bon test. J’ai presque terminé et le principal defaut selon moi, au delà des trajets interminables, c’est le manque de variété de la carte. On passe presque tout le jeu en centre ville ou en banlieue et il manque un gros coin de verdure comme dans San Andreas et ses courses de tracteurs. Bon ch’ui d’accord, New York c’est pas vraiment la campagne non plus… et difficile de faire la fine bouche devant un tel monument.

    Un p’tit lien vite fait pour un gros article qui aborde un côté intéressant du jeu : http://rafik.blog.toutlecine.com/4153/Parlons-politique-parlons-GTA/

  13. Un p’tit lien vite fait pour un gros article qui aborde un côté intéressant du jeu : http://rafik.blog.toutlecine.com/4153/Parlons-politique-parlons-GTA/

    Merci pour cet excellent lien, le propos est passionnant.

  14. En général gta est un bon jeux,ou est-ce que je trouve qu’il devrais un améliortion ses du coté vêtement..

    Gta est un jeux de gang/cash/drogue  »Gangster ».. C’est tres décevent de voir que il n’ai pas d’HABI DE  »Gangster » cela ne fait pas le jeux par contre !

    Aussi ce qu’il étais bien de San Andreas c’étais les gangs!dans gta 4 on a pas vraiment de gang mais bon a vous de juger !

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